Demande d'inscription

Si votre organisme, entreprise, ministère etc. est déjà un abonné aux services du Courrier parlementaire©, vous pouvez vous inscrire pour recevoir par courriel nos éditions quotidiennes. Vous devez cependant entrer l'adresse courriel attribuée par votre organisation.


Se désinscrire

Pour un essai gratuit de quelques jours, veuillez nous faire parvenir un courriel.

Pour plus d'informations, veuillez nous rejoindre par téléphone au 418 640-4211 ou par courriel.

Mot de passe oublié

Veuillez indiquer votre adresse courriel qui est liée à  votre compte. Si elle correspond à  un utilisateur, nous vous enverrons un courriel afin que vous puissez récupérer votre mot de passe.

Mon profil

Vous pouvez modifier les paramètre de votre compte.

Désolé, pour naviguer dans notre site, il faut détenir une licence/abonnement.

Nous publions depuis 32 ans (dont 25 ans comme quotidien web).

Nous offrons une édition (LCP-LAG) tous les matins de la semaine de septembre à juin

Nous ajoutons LCP InfoMidi quand l'activité parlementaire le mérite (quand le Salon bleu est en action)

Nous publions aussi Cette semaine au Parlement sur l'activité de la semaine (et des mises à jour fréquentes durant la semaine),

Nos abonnés reçoivent Alerte Décrets et peuvent consulter nos rubriques Derrière les décrets, Ce qu'ils ont dit,

Message DU gouvernement, Message AU gouvernement et plus encore.

Si vous êtes intéressé à obtenir un essai gratuit de quelques jours pour votre entreprise ou organisme

(nous n'avons pas d'abonnés individuels), n'hésitez pas à nous contacter (editeur@courrierparlementaire.com)

Retour

Article du

Message au gouvernement

P.L. 42 et harcèlement : bon accueil de l’Ordre des CRHA

Paru le | Catégorie: Travail

(R.I.) L’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés accueille favorablement la volonté du ministre du Travail, Me Jean Boulet, CRHA, de légiférer pour renforcer la prévention ainsi que la lutte au harcèlement psychologique et à la violence à caractère sexuel en milieu de travail.

 

«Aucun milieu de travail n’est à l’abri et les coûts humains et organisationnels sont significatifs. Profitons des travaux entourant ce projet de loi pour adopter des mesures fortes et mettre en place un cadre solide, qui redonneront confiance aux victimes et amélioreront la prise en charge des inconduites par les employeurs», réagit la directrice générale de l’Ordre, Me Manon Poirier, CRHA, au dépôt du projet de loi 42.

 

Parmi les modifications proposées dans ce projet de loi, l'Ordre voit notamment d’un bon œil le souhait du ministre de modifier la Loi sur les normes du travail pour prescrire un contenu minimal à la politique de prévention du harcèlement et de traitement des plaintes que les employeurs doivent adopter depuis 2019.

 

Par ailleurs, s’attaquer aux clauses d’amnistie concernant les actes de violence physique, psychologique et sexuelle qui sont présentes dans plusieurs contrats collectifs de travail, pourrait contribuer à réduire les actes d’inconduites commis par des récidivistes.

 

Améliorer la qualité de la prise en charge par les organisation

Tout en saluant ces avancées, l’Ordre estime que le législateur pourrait et devrait aller plus loin pour en arriver à une véritable prise en charge des plaintes par les employeurs, afin de faire cesser les inconduites et assurer à la victime un environnement de travail exempt de harcèlement.

 

Si le recours aux normes du travail est un mécanisme essentiel, il faut savoir que la majorité des plaignants et plaignantes ont déjà quitté leur milieu de travail. Une meilleure prise en charge dans les milieux permettrait aussi d’éviter d’embourber le système public et de trouver une réelle solution, au-delà de la simple compensation.

 

Pour encourager les signalements et baliser le traitement des plaintes au sein même des organisations, une enquête – précédée d’une analyse de recevabilité et accompagnée de la possibilité de médiation en tout temps – devrait être rendue obligatoire pour les employeurs. L’Ontario et le gouvernement fédéral ont quant à eux intégré une obligation de cette nature dans leur législation.

 

En raison des risques de dommages élevés pour toutes les parties impliquées, cette enquête représente un acte complexe et l’Ordre préconise donc qu’elle soit confiée à des professionnels compétents et impartiaux.

 

«Tant qu’une telle obligation n’existera pas, les victimes continueront de se tourner vers des recours qui antagonisent les parties plutôt que de chercher une solution, ou carrément vers le tribunal de l’opinion publique, comme on l’a souvent vu ces dernières années», déplore Me Poirier.

 

À propos de l’Ordre

Regroupant 12 000 professionnelles et professionnels agréés, l’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés est la référence en matière de pratiques de gestion des RH. Il assure la protection du public et contribue à l’avancement des CRHA | CRIA.

 

Par ses interventions publiques, il exerce un rôle majeur d’influence dans le monde du travail au Québec. L’Ordre participe ainsi activement au maintien de l’équilibre entre la réussite des organisations et le bien-être de la main-d'œuvre. Pour en savoir plus.

-/-/-/-/-/-

 

(R.I.) : communiqué que nous avons repris intégralement.

Autres articles du vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023