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LCP / LAG Le jeudi 21 novembre 2024

Message au gouvernement

Travailleuses en CPE : pétition de 20 000 signataires

(R.I.) Les quelque 12 500 travailleuses en centres de la petite enfance (CPE), affiliées à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), ont déposé à l'Assemblée nationale une pétition de près de 20 000 signatures en appui à leurs revendications, parrainée par le député des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau.

 

Ces travailleuses sont actuellement en négociation avec le gouvernement et elles proposent des solutions pour régler la pénurie de personnel et les bris de services qui menacent le réseau. Cette action de visibilité coïncide aussi avec la Journée mondiale de l'enfance.

 

«Les travailleuses sont épuisées par la surcharge de travail et voient leurs conditions d'emploi se détériorer d'année en année. D'ailleurs, elles sont de plus en plus nombreuses à délaisser la profession», explique la représentante du secteur des CPE de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN), Stéphanie Vachon.

 

Le gouvernement de la CAQ devrait faire des pieds et des mains pour convaincre le personnel d'expérience de demeurer dans le réseau et attirer la relève. Malheureusement, il travaille à l'envers. Pourtant, les solutions sont claires : il faut une bonification substantielle des conditions d'emploi, notamment par de meilleurs salaires, par une charge de travail moins lourde et plus de ressources pour les services aux enfants.

 

«À l'heure actuelle, ce gouvernement nous offre des augmentations salariales largement inférieures à celles consenties au secteur public. Et pour y avoir droit, il nous demande d'accepter des reculs dans nos conditions actuelles d'emploi!», témoigne Mme Vachon.

 

«Course aux places»
«Nous sommes devant un gouvernement qui manque de vision. Il a promis des places aux familles du Québec, une place pour chaque enfant, mais il néglige le fait que, pour créer des places de qualité, ça prend des travailleuses qualifiées», affirme la vice-présidente responsable des secteurs parapublics et privés de la FSSS-CSN, Lucie Longchamp.

 

Plutôt que d'offrir des conditions valorisantes aux travailleuses en CPE, ce gouvernement se dépêche de créer des places à la va-vite, en recrutant du personnel non qualifié, qui quitte le réseau après quelques mois parce qu'il ne possède pas les outils nécessaires pour relever les défis de cette profession.

 

«Dans sa course aux places, ce gouvernement privilégie aussi les garderies privées en dépit des problèmes de qualité de ce modèle "d'affaires", problèmes qui ont été longuement documentés, entre autres par la Vérificatrice générale du Québec. La recherche de profit est incompatible avec l'éducation des tout-petits», poursuit Mme Longchamp.

 

«La valorisation de la profession d'éducatrice en CPE est fondamentale pour assurer la consolidation et la pérennité d'un réseau de qualité. Ça passe par des conditions de travail et des conditions salariales dignes de la fonction qu'elles occupent. L'ampleur de la réponse de la population à cette pétition démontre l'appréciation des familles envers ces travailleuses. Le gouvernement doit enfin saisir le message et agir en conséquence», ajoute le porte-parole du Parti Québécois en matière de CPE, Joël Arseneau.

 

Les travailleuses en CPE peuvent aussi compter sur l'appui des organismes Ma place au travail et Valorisons ma profession pour demander au gouvernement d'offrir des conditions respectables aux travailleuses en CPE afin d'honorer sa promesse faite aux familles du Québec de compléter le réseau des services de garde éducatifs à l'enfance.

 

À propos

La Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN) constitue l'organisation syndicale la plus importante dans le secteur des centres de la petite enfance (CPE) au Québec. Elle regroupe 80 % des CPE syndiqués, pour quelque 12 500 travailleuses et travailleurs.

 

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s'engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle regroupe plus de 330 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans 8 fédérations, ainsi que sur une base régionale dans 13 conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

 

SOURCE Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN)

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(R.I.) : communiqué que nous avons repris intégralement.

Message de la Régie du bâtiment

Lieux de baignade : deux projets de règlement

(R.I.) La Régie du bâtiment du Québec (RBQ) publie à la Gazette officielle du Québec deux projets de règlement portant sur les lieux de baignade dans le but de recueillir les commentaires du public.

 

Ces projets visent à augmenter la sécurité des usagères et des usagers et à contribuer à la réduction des risques de noyade dans les lieux de baignade publics.

 

Attendues par le milieu, ces modifications réglementaires s'inscrivent dans la démarche de mise à jour des codes et des normes en vigueur au Québec.

 

Projet de règlement modifiant le chapitre X, Lieux de baignade, du Code de construction

Les modifications permettront notamment :

 

-de mettre à jour les exigences de construction d'une piscine pour les adapter aux pratiques actuelles;

 

-d'ajouter des dispositions sur les piscines à vagues dans le but d'assurer la sécurité des baigneuses et des baigneurs;

 

-de rehausser les exigences sur l'accessibilité des personnes handicapées aux piscines;

 

-de réviser les normes de sécurité concernant les garde-corps, les mains courantes, la hauteur minimale des clôtures, etc.

 

Ces dispositions s'appliqueront aux nouvelles constructions et n'imposeront pas aux propriétaires des piscines existantes de réaliser des modifications.

 

Projet de règlement ajoutant le chapitre IX, Lieux de baignade, au Code de sécurité

La sécurité des lieux de baignade est présentement encadrée par le Règlement sur la sécurité dans les bains publics. Le projet de règlement introduira ces mesures au Code de sécurité par la création du chapitre IX, Lieux de baignade.

 

Ce projet de règlement permettra entre autres :

 

-d'abaisser l'âge minimal d'une surveillante-sauveteuse ou d'un surveillant-sauveteur de 17 à 16 ans;

 

-d'assouplir l'obligation de surveillance des piscines de résidences privées pour aînés et d'établissements d'hébergement touristique, à certaines conditions;

 

-d'introduire des normes de sécurité adaptées aux risques particuliers des piscines à vagues;

 

-d'autoriser de nouveaux organismes à délivrer des certifications de qualification aux préposées et préposés à la surveillance des lieux de baignade.

 

Pour en savoir davantage sur ces projets de règlement, consultez la page Projets de règlement en cours. La date limite pour recevoir les commentaires est le 3 janvier 2025.

 

Citation

«Ces projets de règlement correspondent aux initiatives mises en place par la Régie du bâtiment du Québec pour augmenter la sécurité des citoyennes et des citoyens dans les lieux de baignade et sensibiliser la population aux risques de noyade.»

 

Michel Beaudoin, président-directeur général de la RBQ

 

Au sujet de la RBQ

Présente partout au Québec, la RBQ a pour mission de veiller à la qualité des travaux de construction et à la sécurité des personnes dans les domaines du bâtiment, de l'électricité, de la plomberie, du gaz, des équipements pétroliers, des installations sous pression, des ascenseurs, des remontées mécaniques, des jeux et manèges, des lieux de baignade et de l'efficacité énergétique.

 

La RBQ surveille l'application de la Loi sur le bâtiment et de la réglementation afférente dans les différents domaines techniques de sa compétence. De plus, la RBQ a comme fonction le contrôle de la qualification des entrepreneurs de façon à s'assurer de leur probité, leur compétence et leur solvabilité.

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(R.I.) : communiqué que nous avons repris intégralement.