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Fenêtre sur l’Université du Québec

Les ordres professionnels en temps de pandémie

Paru le | Catégorie: Enseignement supérieur LAG

(LAG/UQ) Comment la pandémie que nous subissons depuis un an affecte-t-elle la gouvernance des ordres professionnels au Québec? « Des observations ad hoc montrent que les États modifient leur vision du système professionnel, que la pandémie mêle un contexte de crise à des enjeux de longue date, comme l’admission de diplômés étrangers ou le partage d’actes professionnels. En l’absence d’analyse globale de ces inflexions à la politique des professions, il importe donc de comprendre comment la pandémie influence les stratégies des États et des ordres professionnels. »

 

Le professeur Jean-Luc Bédard de la Télé-Université avec son collègue Julien Prud’homme de l’UQTR et un professeur de la Western University de London « ont obtenu 16 247 $ en soutien du CRSH, volet Engagement partenarial (avec le Conseil interprofessionnel du Québec), pour le projet « Réguler l’expertise en temps de crise. Les systèmes professionnels du Québec et de la Colombie-Britannique devant la pandémie ».

 

Ils ont déjà travaillé ensemble lors d’une « première phase préliminaire entamée en 2020, où les trois chercheurs impliqués ont construit trois corpus documentaires : un corpus réglementaire, un corpus médiatique et un corpus de « littérature grise ». Les deux premiers sont le fruit d’une nouvelle technique de ratissage Web qui a fait l’objet d’une communication savante en décembre 2020 et qui sera appliquée à ce projet, en coconstruction avec le partenaire. »

 

D’ailleurs, lors de la présentation de ces résultats préliminaires, (Colloque du Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie, en décembre dernier) les résultats de cette comparaison montrent « que l’approbation de certaines revendications directement reliées à la pratique des professionnel·les semble avoir été accélérée, trouvant pour cette vélocité une justification dans l’urgence sanitaire. Par exemple, la possibilité pour les sages-femmes québécoises, depuis mai 2020, de signer un retrait préventif aux personnes enceintes fait partie des nouveaux actes acceptés en vitesse au printemps dernier. Certains actes et gestes réservés auparavant à certaines professions sont maintenant élargis à celles aux champs de compétences connexes. D’autres changements sont plus procéduraux, par exemple la signature de documents notariés à distance, acceptée dès la mi-mars. Enfin, la possibilité pour certaines professions paramédicales, comme les optométristes, de réaliser les tests de dépistage de la COVID-19 est reçue comme une reconnaissance de leur expertise en anatomie. »

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Cette rubrique régulière est une collaboration entre L’Actualité gouvernementale© (LAG-LCP) et le réseau de l’Université du Québec

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