Demande d'inscription

Si votre organisme, entreprise, ministère etc. est déjà un abonné aux services du Courrier parlementaire©, vous pouvez vous inscrire pour recevoir par courriel nos éditions quotidiennes. Vous devez cependant entrer l'adresse courriel attribuée par votre organisation.


Se désinscrire

Pour un essai gratuit de quelques jours, veuillez nous faire parvenir un courriel.

Pour plus d'informations, veuillez nous rejoindre par téléphone au 418 640-4211 ou par courriel.

Mot de passe oublié

Veuillez indiquer votre adresse courriel qui est liée à  votre compte. Si elle correspond à  un utilisateur, nous vous enverrons un courriel afin que vous puissez récupérer votre mot de passe.

Mon profil

Vous pouvez modifier les paramètre de votre compte.

Désolé, pour naviguer dans notre site, il faut détenir une licence/abonnement.

Nous publions depuis 32 ans (dont 25 ans comme quotidien web).

Nous offrons une édition (LCP-LAG) tous les matins de la semaine de septembre à juin

Nous ajoutons LCP InfoMidi quand l'activité parlementaire le mérite (quand le Salon bleu est en action)

Nous publions aussi Cette semaine au Parlement sur l'activité de la semaine (et des mises à jour fréquentes durant la semaine),

Nos abonnés reçoivent Alerte Décrets et peuvent consulter nos rubriques Derrière les décrets, Ce qu'ils ont dit,

Message DU gouvernement, Message AU gouvernement et plus encore.

Si vous êtes intéressé à obtenir un essai gratuit de quelques jours pour votre entreprise ou organisme

(nous n'avons pas d'abonnés individuels), n'hésitez pas à nous contacter (editeur@courrierparlementaire.com)

Retour

Article du

Message au gouvernement

Personnel scolaire : la FTQ s'attend à des gestes concrets

Paru le | Catégorie: Z- Ce qu'on attend du gouv.

(R.I.) La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), et ses syndicats affiliés dans le secteur scolaire (SCFP, SEPB, UES 800) qui participeront, (aujourd'hui), à la consultation du gouvernement du Québec visant à valoriser, à attirer et à mobiliser le personnel scolaire invite le gouvernement à poser des gestes rapides et concrets afin de stopper la démobilisation et les démissions dans le réseau.

 

« Au cours des derniers mois, dernières années nous avons beaucoup entendu parler de la nécessité de rehausser le statut des enseignants du réseau de l'éducation. C'est bien, c'est même très bien, mais le problème c'est que le gouvernement a complètement oublié les autres corps d'emplois, le personnel de soutien et les professionnels, qui sont tout aussi nécessaires à la réussite scolaire des élèves.

 

Les travailleuses et travailleurs que nous représentons tiennent le réseau de l'éducation à bout de bras et leur travail, mal reconnu, est essentiel. Sans ces, femmes et ces hommes, secrétaires, techniciens de laboratoire, psychologues, ouvriers spécialisés, concierges, techniciennes en service de garde pour ne nommer que ceux-là, il n'y aurait pas d'école fonctionnelle », déclare le secrétaire général de la FTQ, Denis Bolduc.

 

« Notre message au gouvernement est clair : il doit changer de modèle et s'intéresser à l'ensemble du personnel, à l'ensemble des activités de l'école, 'Il faut tout un village pour élever un enfant', ça s'applique aussi à l'école. Si on continue à oublier le personnel de soutien et les professionnels, la pénurie de personnel va s'aggraver et les services aux élèves vont en souffrir », d'expliquer Richard Delisle, président du secteur de l'éducation du SCFP-Québec.

 

« Qu'on le veuille ou non, la valorisation, la rétention et l'attraction du personnel scolaire passent avant tout minimalement par un rattrapage salarial et par une amélioration significative des conditions de travail des différents corps d'emplois. On peut faire toutes les consultations possibles, les conclusions seront les mêmes; il faut un investissement majeur dans le réseau de l'éducation », ajoute Réda Ait Ali président par intérim du Conseil national du soutien scolaire (CNSS-SEPB).

 

« Le gouvernement doit passer un message afin de reconnaître la valeur de tous les travailleurs et travailleuses de l'éducation. Il faut revoir tout le fonctionnement dans les écoles. Garantir un nombre minimal d'heures de travail afin que les travailleuses et travailleurs puissent vivre décemment, afin de mettre fin à la précarité. Certaines classes d'emploi gagnent à peine plus de 20 000 $ par année, après cela on se demande pourquoi on manque de personnel ? Poser la question c'est y répondre » conclut Pierre-Paul jr Binet, C.S. Central Québec UES 800.

 

La FTQ, la plus grande centrale syndicale au Québec, représente plus de 600 000 travailleurs et travailleuses.

 

Les travailleuses et travailleurs du secteur public en éducation de la FTQ sont représentés par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), le Syndicat des employées et employés professionnels-les et de bureau (SEPB) et l'Union des employés et employées de service, section locale 800 (UES 800).

-/-/-/-/-/-/-

Autres articles du lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021

lundi 04 octobre 2021